LE PALU M'A PRIS LA PREMIÈRE SEMAINE D'OCTOBRE
Le paludisme, on en parle souvent comme d’une maladie “ordinaire”. Pourtant, quand on le vit, tout change. Cette semaine, j’ai été cloué au lit, fiévreux, faible et épuisé. J’ai compris une chose essentielle : le palu n’est jamais banal. Si moi, adulte, j’ai autant souffert… qu’en est-il des enfants ?
Mon expérience personnelle
Cela a commencé par des frissons, une fatigue inhabituelle. Puis la fièvre, les courbatures, les maux de tête… Je ne pouvais rien faire. Même manger devenait un effort. Malgré les médicaments et les soins, il m’a fallu plusieurs jours pour commencer à me sentir un peu mieux.
Une réalité encore plus dure pour les plus petits
Le paludisme est la première cause de mortalité infantile dans de nombreux pays d’Afrique, y compris la Côte d’Ivoire. Chaque année, des milliers d’enfants perdent la vie à cause d’une piqûre de moustique. Et souvent, par manque d’information ou d’action préventive.
La solution existe : le vaccin contre le paludisme
Depuis peu, un vaccin est disponible pour protéger les enfants contre le paludisme. Il ne remplace pas la moustiquaire ou les bons réflexes, mais il renforce considérablement la protection.
Un appel à tous les parents
J’invite chaque parent à faire un pas de plus pour la santé de leurs enfants. Faites-les vacciner. C’est un geste simple, gratuit dans les centres de santé, mais qui peut sauver une vie.
Crédit photo : LequotidienAujourd’hui, je vais mieux. Mais cette épreuve m’a ouvert les yeux. Ne laissons pas nos enfants vivre ce que j’ai vécu. Protégeons-les tant que nous le pouvons.


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